🚀Doper sa confiance avec le codéveloppement

Vous connaissez “l’effet de surconfiance” (Effet Dunning-Kruger pour les initité·e·s) ? C’est un biais cognitif selon lequel les moins qualifié·e·s ont tendance à surestimer leurs compétences et les plus qualifié·e·s à les sous-estimer. En d’autres termes : moins vous êtes calé·e sur un sujet, moins vous savez que vous ne savez pas, tandis que quand vous apprenez à maîtriser un sujet, vous en cernez davantage les contours …et donc l’étendue de votre ignorance ! CQFD. Ou plutôt… Patatras ! Savoir qu’on ne sait pas tout, fait des ravages chez certaines d’entre nous, sur la légitimité à intervenir sur tel ou tel sujet préférant se taire plutôt que de risquer d’intervenir de façon incomplète.

A partir de quand peut on se dire expert·e ?

Un sujet récurrent dans les cercles d’entrepreneur·e·s : où situer son niveau d’expertise ? A partir de quand peut on se dire expert·e d’un sujet ? Tout l’enjeu réside dans l’identification de ces indicateurs. Des indicateurs qui pourront être caractérisés grâce à l’effet miroir du groupe de codéveloppement. Ainsi, le questionnement des participant·es permettra de se positionner, réaliser ses accomplissements, le niveau de sa formation, l’accumulation d’expériences vis-à-vis d’un sujet. Le partage d’expériences lié au processus de codéveloppement permettra de valider des intuitions, s’inspirer et sortir de la séance avec une confiance dopée. Ouf !